Take a Desk, la start-up innovante qui rénove l'immobilier de bureau

Avec une levée de fonds de 1,3 millions euros en 2021 et la signature de nouveaux clients stratégiques, Take a Desk accélère son développement

Publié le 15 février 2022

Après deux levées de fonds, plus de 100 clients déjà séduits, plus de 16000m2 disponibles et 1600 postes accessibles en 24h et la signature de deux nouveaux clients stratégiques, Take a Desk, la plateforme innovante qui met en relation des entreprises disposant de bureaux vacants, accélère son développement en France et affiche de nouvelles ambitions.

Fondée en 2017, Take a Desk a pour ambition de chasser le vide et propose aux entreprises de sous-louer leurs espaces vacants à d'autres sociétés ou professionnels à la recherche d'une solution flexible et de rentabiliser ainsi leurs espaces. Une solution innovante qui offre également une véritable alternative aux si complexes baux 3/6/9, en proposant des contrats d'occupation temporaire, comme du co-working, mais aussi sur des durées plus sédentaires à partir d'un mois. Une solution flexible qui facilite l'accès à des espaces de travail à de nombreux acteurs, qui souvent renoncent pour des raisons de coûts trop élevés ou de contraintes trop importantes, tel que le préavis.

Un concept novateur, une nouvelle brique à l'immobilier d'entreprise

L'offre Take a Desk représente ainsi une véritable opportunité pour les entreprises d'optimiser les coûts liés à leurs charges locatives en sous-louant leurs bureaux inoccupés. Une façon simple, efficace et flexible pour les entreprises de générer des flux de revenus et de rentabiliser ses espaces de bureaux là où ils représentaient jusqu'alors une des charges les plus élevées de l'entreprise.

De plus, elle redonne au bureau ses lettres de noblesses en le replaçant au cœur de l'entreprise et de l'humain. Car aujourd'hui, entre crise sanitaire, télétravail, nomadisme ou solutions transitoires, les nouveaux modes de travail prennent une place de plus en plus grande dans le monde de l'entreprise. En offrant la possibilité à des entreprises différentes de partager des bureaux, en recréant des lieux d'échanges et de partage, de convivialité aussi, Take a Desk devient générateur de synergies entre les différents occupants, grâce aux opportunités entre les deskers (les entreprises qui proposent des espaces) et les takers (ceux qui louent ces espaces).

« Avec notre plateforme innovante, nous permettons aux utilisateurs de trouver une solution flexible d'hébergement clé en main, à prix attractif. Les coûts des espaces de travail représentent le second poste de charge pour les entreprises du tertiaire après la masse salariale. En sous-louant leurs postes de travail inoccupés, les entreprises rentabilisent leurs bureaux. Un moyen également pour les petites structures de trouver des solutions adaptées à leurs besoins et accessibles. Nous construisons avec tout cela une nouvelle brique à l'immobilier d'entreprise. » affirme Theo Olivier, fondateur de Take a Desk.

Des objectifs de développement et de croissance sur la taille de marché

Avec déjà plus de d'une centaine d'entreprises françaises qui commercialisent leurs espaces de travail via la plateforme, telles que le Village By CA, Cerfrance, Nepsio Conseil, Le Crédit Agricole, Ideuzo... et plus de ?16 000m2 de bureaux partout en France, Take a Desk est aujourd'hui un acteur majeur des bureaux partagés sur le marché français.

En 2021, de nombreuses entreprises ont rejoint la plateforme, notamment AIA Life Designers, une agence d'architecture et d'ingénierie engagée pour un urbanisme favorable à la santé, qui compte aujourd'hui 650 collaborateurs et 14 agences implantées dans toute la France et à l'international. Egalement, le promoteur immobilier de référence dans l'Ouest et en Ile de France, REALITES, qui propose de l'immobilier de bureaux, vient de signer avec la start-up pour la commercialisation de plus de 2 000 M2 de bureaux répartis partout en France. Keller William et le groupe Pichet font également désormais confiance à la plateforme.

Après un premier financement en 2018 de 300 000 euros pour le développement de son innovation, et un 2ème tour de table de 1,3 millions d'euros en 2021, Take a Desk a enregistré une croissance +600% de son chiffre d'affaires entre 2018 et 2021 et triplé le nombre de ses effectifs. Aujourd'hui, Take a Desk a pour volonté de devenir rapidement une marque communautaire incontournable sur le marché de l'immobilier d'entreprise et une plateforme de marque reconnue sur l'ensemble du territoire national.

« Dans un an, nous envisageons d'être présent sur l'ensemble du territoire national, c'est-à-dire, d'avoir des hébergeurs dans toute la France, en visant dans un premier temps d'être présent dans les 50 plus grandes villes de France. Nous voulons devenir l'une des références dans la location de bureaux flexibles et préparer le déploiement sur les pays limitrophes. » conclut Theo Olivier.

Avec le lancement de sa deuxième version de sa plateforme, offrant notamment une interface utilisateur améliorée, Take a Desk accélère son développement et ambitionne le recrutement de
10 nouveaux collaborateurs, l'accélération de son déploiement en France et une croissance de 120% de son CA.


Etude Take a Desk « Les salariés et le partage de bureaux »

Les salariés français enclins à partager leurs bureaux avec des personnes extérieures à l’entreprise


  • 1 salarié sur 3 estime que 50% des bureaux aujourd’hui sont vides
  • 79% estiment que cela favorise les échanges et le partage de compétences
  • 80% y sont favorables pour gagner du temps sur leur temps de trajet

 

Take a Desk, la plateforme innovante qui met en relation des entreprises disposant de bureaux vacants et des travailleurs, dévoile aujourd’hui les résultats de son étude sur la perception des bureaux partagés chez les salariés français. Une étude qui met en lumière la transformation à la fois humaine et organisationnelle qui s’opère dans les entreprises, l’évolution du rôle des bureaux dans les entreprises et les attentes des salariés.

 

Ce sondage OpinionWay pour Take a Desk a été réalisé du 4 au 7 janvier 2022 auprès d’un échantillon représentatif de 1066 employés de bureau dans des entreprises de 20 salariés et plus, constitué selon la méthode de quotas, au regard des critères de sexe, âge, CSP, région de résidence, taille d’entreprise et secteur d’activité. Il révèle que les Français interrogés sont particulièrement ouverts à l’idée de partager leurs bureaux avec d’autres personnes (salariés, entrepreneurs, professions libérales…) extérieures à l’entreprise. Un moyen selon eux de redynamiser l’espace de travail, de créer de nouvelles synergies mais également de générer du revenu pour leur entreprise.

 

Partage de bureau : des salariés très enthousiastes 

 

Avec le télétravail de plus en plus courant dans les entreprises, le mode de consommation des bureaux a été profondément bouleversé ces dernières années et de nombreuses entreprises font aujourd’hui face à des mètres carrés inutilisés. Aujourd’hui, 1 salarié sur 3 estime que 50% des bureaux au moins sont vides et pour près de 1 sur 2 (48%), c’est 25% d’espaces inoccupés constatés. Des espaces devenus inutiles et coûteux qui doivent être repensés par les décideurs pour répondre aux besoins et attentes des travailleurs et redevenir attractifs. 81% des salariés interrogés estiment notamment qu’ils pourraient être une source de revenu supplémentaire pour leur entreprise. 

 

La question du partage des bureaux est spontanément perçue comme positive par les salariés. En effet, pour plus de 8 employés de bureaux sur 10 (86%), le principal point d’intérêt évoqué est la possibilité de rencontrer de nouvelles personnes et 79% évoquent un moyen efficace de favoriser les échanges et le partage de compétences. Ainsi, accueillir de nouveaux collaborateurs extérieurs à l’entreprise est perçu comme étant un réel moyen de développer les interactions et les liens sociaux. 


Si certains s’interrogent sur leur capacité à travailler aux côtés d’inconnus (58%), à s’entendre avec ces nouvelles personnes (56%) ou encore sur le fait que cela puisse entacher l’ambiance globale de l’entreprise (59%), les salariés interrogés sont globalement ouverts à l’idée de partager un bureau avec n’importe qui. Anciens collègues (78%), conjoint (75%), amis (73%)… sont les premiers mais 68% affirment être plutôt favorables à partager leur bureau avec des personnes d’une entreprise du même secteur d’activité et 63% avec des personnes travaillant dans un autre secteur. 

Un levier d’attractivité et de fidélisation des salariés, une réponse flexible à des modes de vie émergents 

 

Le partage de bureaux permet également aux entreprises d’apporter à leurs collaborateurs un nouveau souffle, une nouvelle dynamique en apportant directement une réponse positive sur leur qualité de vie

 

C’est notamment ce que déclarent plus des deux tiers des répondants (77%) en citant l’utilité d’avoir un bureau accessible à proximité de leur domicile. Un moyen pour 8 salariés sur 10 de réduire leur temps de trajet quotidien et de diminuer l’impact du stress et de la fatigue liés au transport travail-domicile. 70% vont même jusqu’à penser que ce partage permettrait de moderniser les équipes. Un vrai coup de fouet donc pour le dynamisme et l’attractivité d’une entreprise.

 

D’autres avantages sont bien perçus et évoqués, comme notamment le moyen de rompre la monotonie pour 66% des sondés – une perception surtout ressentie par les hommes (70%) contre 62% des femmes – la possibilité de travailler dans des locaux plus grands (62%), plus modernes (73%) ou encore en présentiel (56%). Autant de raisons qui confortent les salariés à accepter de partager leurs bureaux avec d’autres. 

 

« Malgré quelques interrogations, liées notamment au changement d’habitude, d’organisation ou de sécurité et confidentialité (80% des répondants), les salariés affichent une réelle ouverture pour le partage de leurs bureaux avec d’autres personnes. Cette solution répond à leur besoin et attente de développer leur vie sociale, le partage et l’échange mais aussi à l’amélioration de leur qualité de vie grâce aux aspects pratiques que le partage de bureau fourni à tous les travailleurs, quel que soit leur secteur, leur statut… », conclut Theo Olivier, fondateur de Take a Desk.